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L'IMPOSTEUR
Roman
éditions Academia

L'IMPOSTEUR
Roman
éditions Academia

N’entrez pas dans ce livre coiffé d’une auréole de préjugés ou lesté de vos redoutables opinions. Oubliez-les. Vendez-les. Échangez-les. Ou, mieux encore, jetez-les pour faire place nette.

Formé à la prêtrise malgré lui dans les années d’après-guerre, Pierre Mansoeur verse dans la violence, la haine des femmes, les addictions, jusque dans le dégoût de sa religion… Anéanti, l’homme éprouve la faillite de l’honneur avant d’emprunter les chemins de la rédemption en France et en Belgique. Du moins est-ce la trame idéalisée du récit, jusqu’aux renversements multiples, magnifiquement maîtrisés, qui laisse le lecteur interloqué.

EN GUISE DE RÉSUMÉ

C’est l’histoire méconnue de Pierre Mansœur, insigne prédateur, racontée par lui-même, dans une biographie équivoque et romancée ; une vie imprégnée des heurs et malheurs d’un XXe siècle tourmenté.
Éduqué au Séminaire dans les années d’après-guerre par une erreur d’aiguillage, formé à la prêtrise malgré lui, Pierre Mansœur versa dans la violence, la haine des femmes, les addictions, jusqu’au dégoût de sa religion… Anéanti, morcelé, il éprouva la faillite de l’honneur avant d’emprunter les chemins de la rédemption en France, en Belgique… Et principalement dans son monde intérieur falsifié et sublimé.
Du moins est- ce ce que l’auteur décrit et ce que le lecteur croit… Jusqu’à ce que les événements réels refassent surface entre les lignes et que, preuves révélées, les faits accablants versés au dossier contredisent le roman… Jusqu’à ce qu’enfin les experts s’en mêlent et brouillent davantage les certitudes du récit et les convictions du lecteur… Pris en tenaille, bousculé entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le fait divers et la fiction, le lecteur est contraint de se forger une opinion et, malgré lui, de prendre position.
Un roman aux multiples facettes dont la construction labyrinthique plonge dans les arcanes même de l’écriture, la mythologie romanesque, et brise les unités de temps, de lieu et d’action. Le « twist » final, loin de tenir à distance, amplifie le roman et laisse le lecteur groggy.


Ancre 1
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